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guillaume et marion étaient dans le sauna depuis dix minutes. marion avait remarqué un regard pesant sur elle, une nervosité dont elle connaissait bien la cause! et ce désir exacerbé l'excitée terriblement, alors que sa petite tête qui avait encore des restes de virginité lui interdissait tout mouvement vers cet homme. guillaume sortit enfin du sauna. l'homme descendit pres d'elle, et le regarda avec un regard franc, il attendait qu'elle se decide. elle se décida a sortir, se dirigea vers la douche. il ne se fit pas attendre, il se planta dérrière elle pour la matter à loisir, bravant guillaume qui les observer assit dérrière. elle pris son temps pour prendre sa douche, la tension était perceptible. il y a avait cet homme, au corps insolent, cette tête brulée bourrée d'audace qui n'écoutait que son désir. tout cela excitait marion au plus haut point, elle se tourna vers lui , l'aspergea avec la douche dans une entente complice. il la saisie par la main, lui roula un patin, sa langue avait bien le gout de son caractère! il la tourna, ramena son cul vers son sexe, jamais elle n'avait autant aimé une erection! guillaume s'affolait cria : " viens sale pute ou tout est finis!"

marion repris ses esprit bien tourmenté et dit a son bel inconnu: " fin de la comédie!"

elle réajusta son drap de bain et suivie guillaume, docile.

une fois dehors guillaume la sermonna comme a son habitude:

guillaume: " continue a faire ça et tu vas apprendre a me connaitre! quand tu es face a une fourmis tu l'ecrasse , salope!"

marion: " oui, oui salope, c'est ça, et puis une vraie, parce que toi mon p'tit bonhomme t'es le roi des salauds, t'en es un grand, un beau, et puis je ne te comprends pas toi tu drague ouvertement devant moi, tu laisse trainé ta queue un peu partout, et puis quand tu baise avec moi c'est toujours comme si tu baisais seul, tu tire ton coup dans ton coin, au point que je suis obligée de penser a un autre pour ne pas me sentir seule!"

guillaume: " salope tout est finis"

elle vit disparaitre guillame dans le brouillard de la ville et sept ans de vie de commune disparaitre sous ses yeux!

elle chantonna: " plaine oh ma plaine tallalala!"

on la voyait s'effoncer dans les profondeurs de la ville

elle ne s'était jamais sentie aussi légére bien décidé a vivre, a vivre la vie comme il se doit,se pensant à l'horloge de cette ville qui n'a de cesse de vous rappeler qu'il est grand temps d'en profiter!