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karine travaillait en tant que directrice régionale et son charme n'était pas pour déplaire à ses collègues. elle était depuis six mois dans sa boite et elle état sans cesse harcellée par deux de ses collègues

dans l'ascenseur:.

marc: " tu verras un jour tu ne tiendra plus, tu auras trop faim!"

karine: " j' ai mon sandwich à la maison!"

marc: " ments pas t'as plus de mec depuis combien de temps?"

karine:" pas si longtemps que ça!"

marc frolait karine, et la sensation de son sexe dur la troublait au point qu'elle avait du mal à trouver ses mots et garder sa constance. karine était partagée entre l'envie d'essayer ce sexe qui s'offrait à elle ou rejetter ses avances obsédantes. en sortant de l'ascenseur, karine senti la main caressante de marc sur sa jolie descente de reins.

karine était troublée et tentait en vain de dissimuler son intêret pour cet homme qui savait si bien réveiller son envie.

elle sortit enfin du boulot et pris le chemin du retour. elle s'engouffra dans les couloirs du métro, là elle vit un jeune musicien faire la manche. le jeune garçon avait le visage délicat et le mouvement de ses mains sur l'instrument ravissait karine. marc avait éveillé chez elle des envies de sexe interdits qu'elle avait envie de décharger sur le bel éphèbe. c'était l'heure de pointe et chacun pensait plutôt à rentrer chez soi que d'écouter le jeune homme.

karine: " j'te paye un coup?"

le jeune sourit, ravi de l'offre d'une si charmante femme. il acquiesça et tout deux partirent dans la bar le plus proche

la discution aller bon train, mais karine était pressée d'emmener sa proie dans ce lit qui n'avait plus vu d'amant depuis si longtemps.

un peu ivres, ils prirent le chemin qui menait chez karine.

arrivés, l'appétit et l'alcol aidant, karine se precipita sur le jeune homme et l'embrassa avec fougue sur le pallier. les deux amants ne prirent pas le temps de gagner la chambre et le jeune homme prit karine debout et fourra son sexe dans le vagin de karine, il en avait envie autant qu'elle. leurs ébats finis, karine lui embrassa le front et lui dit de partir avant la nuit , comme cendrillon!

a suivre....