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karine rentré tard du boulot. tous ces temps si damien et elle n'avaient pratiquement pas eu de rapports tellement karine avait de boulot

damien et karine était sur le canapé et karine sombra dans le plus profond des sommeil

damien regardait karine qui avait mis un tailleur avec une jupe courte

damien regardait ce corps tant désiré et si joliment fait

il regardait ses jambes si fine carressa ses hanche, et il était emu de voir ce joli corps abandonné a sa merci

lui qui ne parlait jamais pendant l'amour avait soudain l'envie de lui dire moulte choses incensés croyant que ses propos étaient libre de tout interlocuteur

il degraffa doucement le chemisier de sa belle, caressa ses tetons qui avait tot fait de reagir

karine dans se sommeil si profond était totalement offerte a lui et jamis il eu autant de désire que ce jour sans témoin

doucement il carressait son ventre, posait ses levre sur les levres mortes de karine, glissa sa main sous la jupe de karine, pressa son sexe avide contre les fesses de sa bien aimée

karine das un demi sommeil commençait a percevoir les caresses de damien, les mots incensés de son homme lui parvenaient aux oreilles, tout se stratagme lui plut et elle se garda bien de montrait a damien qu'elle s'était éveillé

jamais damien ne s'était autant livré a elle et elle entendait preservé se moment magique

damien souleva la jupe de karine et lui enleva sa lingerie fine, il respirait fort pris par son désir il degraffa son pantalon et commença a se masturber contre lle

karine brulait d'impatience qu'il la pénétre, mais se laissait toujours faire profitant d'un désir a son comble

animé par le désir il l'a pénétra avec force et son bassin donné de forte sacade

karine laissa échapé un petit cri de jouissance et se tourna vivement vers lui pour saisitr sa bouche, ils s'embrasserent avec fougue et cette alchimie des sens les firent jouir au diapason

karine et damien secretement se firent chacun de l'un de l'autre le projet de recommencer cette experience...

mathilde arriva un peu plus tot a l'asso. elle espérait secretement un nouvel appel de son prétendant

quand elle arriva édouard était deja la pour faire la permanance avec elle

durant la soirée elle essaya de repondre au plus grand nombre d'appels

vers dix heures le téléphone retenti, edouard s'appreta a repondre quant mathilde lui dit: "non laisse je reponds

la voix:" ecarte les jambes ma poupée!"

la voix de cet homme était grave et volupteuse

mathilde écarta discrétement les jambes

la voix: "caresse toi"

mathilde mit sa main dans sa poche et commença a se caresser

la voix: " tu mouille salope?"

mathlde ne repondit pas mais le désirque la communication se poursuive était évidant

au bout du fil la respiration commençait a se faire haletante, le désir, il était évident, commencer a vrombir d'un coté comme de l'autre

la vopix: " j'ai mon sexe qui enfle, j'te le mettrais bien dans la bouche salope!"

jamis mathilde n'avait entendu pareil discourt, elle n'avait jamais connu la jouissance, et jamais son partenaire n'avait employé de tel mot,jusque là sa libido se limitait au devoir conjugale

elle espérait que la conversation n'est plus de fin

mais on silence devenait suspect pour edouard, elle décida de racrocher, persuadée que ses idylles recommencerait plus tard!

a suivre....

tu t'es endormi tout doucement , tu m'as appellé, je ne suis pas venu!

je voulais que tu dormes, venir violer tes rêves

tu dormais je me suis déshabillée complètement, j'étais nue comme un vers

je me suis glissée sous la couette, dans s lit trop peetit, et j'ai senti ta peau

ton corps était cchaud, tu avais un respiration régulière, les lumières de la ville, par la fen^tre, me laissaient voir ta jolie, nuque

je glissais ma boucche près de la tienne, doucement, je caressais ta nuque,, tes épaules

le commençais à désirer ce sexe qui m'est si familié

je glisse la main dans ton dos, je caresse le  bas de ton dos

dans un demi sommeil , tu m'encourage tu me réclame d'un petit coup de hanche

je sais ce que tu aimes, mais je te fais attendre, je m'attarde dans le creux de ton dos, tu me !e réclame encore, j'enfonce un doigt, de l'autre main je m'hasarde vers ton sexe qui est dans une demi érection

je le sers , je le sens gouffler sous mes doigts, j'adore ça, sentir ce sexe conquérant devenir de plus en plus vaillant, je te branle carrèment, tu respires fort

tu te tourne vers moi, tu es encore dans un demi sommeil

j'ai envie de te sucer

je prends ton sexe dans ma bouche, il vit! il me réclame, il se durcit

et le contact de ma bouche avec ce sexe dur, me fait jouir

mais ce soir tu n'es pas décidé tu te retourne et me laisse seule dans ce lit brulant!!!