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L. venait des pays ou tout est interdit et pourtant, et pourtant!!! dieu qu'il était bon de l'aimer et de se donner à lui!

plus elle baisait avec , plus elle voulait baisait avec, dans une cascade de dominos des envies, des désirs, des fantasmes, des sens en alertes, rien ne semblait mieux l'assouvir que d'être dans son lit, sa femme, sa maîtresse, son amante habile a deviner ce dont il a tant besoin! le voir grimacer d'une jouissance extatique la comblait de bonheur autant que la tyrannie de son clithoris! comment ce visage aussi beau pouvait lui paraitre divin alors même que la jouissance lui donné la laideur, mais plus il était laid plus elle le trouvait beau, excessivement désirable. sa peau mate lui avait donner le gout des fruits exotiques. il était à la fois tout et juste ce qu'il faut pour faire vibrer son corps et son âme. il y avait dans la jouissance qu'elle éprouvée a faire l'amour avec lui une grace infinie, c'est lui qui avait ouvert la porte de ses secrets les plus intimes. le gardien de ses nuits et de ses songes. elle avait conscience que cette jouissance éprouvée elle la valait autant a lui qu'a l'amour grandissant qu'elle lui portait. il n'avait rien, ni d'un mari ordinaire, ni d'un amant ordinaire, ni d'un homme ordinaire et il s'evertuait a entretenir le mystère. un mystère cellé dans sa tombe. un maître chanteur qui connaissait très bien la cadance. sa beauté réveillait les sens, son intelligence mettait l'esprit en alerte. et de cette symphonie naissait une dépendance jusque là inconnue. jamais elle ne c'étais autant sacrifiée pour un homme, oubliant sa liberté. son amour la soumettais a son emprise. mais elle avait conscience qu'un tel homme ne pouvait avoir de double et qu'elle le rechecherais en vain ailleurs et la peur de le perde devenait pire que l'abime, il le savait et en jouait!

clara bien un peu dévergondée était d'une famille bourgeoise et très catholique, et si elle n'a vu su retenir de son education que la façon de bien se tenir à table , il n'en allait pas de même pour sa soeur cecile.

cecile et clara était allongé sur le lit de cecile tout en discutant, des amours de cecile bien entendu!

cecile devait se marier quelques mois plus tard, était éprise de son futur mari et commençait a connaitre ses premiers émois

cecile:" il embrasse tellement bien, il me dit qu'il m'aimera toujours, qu'il m'a toujours voulu pour femme, j'aime quand il pose sa main sur moi..."

clara: " et après?"

cecile: "apres quoi? rien on attend le mariage, tu sais c'est important pour nous, ce serra l'union de notre amour"

clara jaugea sa soeur avec un air amusé

clara: "continue je t'ecoute!"

clara se gratta la tête hésité un moment puis n'y tenant plus lui dit

clara:"tu as senti si il bandait au moins!"

cecile apres un petit rire gené

cecile: "je crois que oui...!"

clara décidé de jetter un pavé dans la marre tant les minauderies de sa soeur ne l'amusait plus

clara:" putain je lui aurait bouffé la queue si j'étais toi!"

puis parti sans demandé son reste, elle entendit sa soeur lui dire derrière la porte

cecile:"ce que tu peux être vulgaire!"

clara pensa, "si tu savait ce que la vulgarité a du bon... non tu ne sauras jamais!"

clara était mainteant assise avec karine

karine: "alors ils ont niqué??????"

clara: " a ton avis!?"

karine: " il va falloir encore attendre, ce serra quand m^me quelque chose le jour du mariage!"

clara: "pfffff! tu parles il va faire ça n'importe comment et après il va s'endormir dessus!"

karine:" et elle restera sur sa faim comme d'hab!"

clara: " toute sa vie!"

karine: " et bien moi je ne troquerais jamais un bon amant contre un petit mari!"

clara: "l'ignorante!"

karine: "l'innochente!"

clara était avec et pavel et martin depuis plus de deux heures, ils discuter de tout et de rien, surtout de rien. clara avait bien remarqué la nervosité avec laquelle pavel commander ses bièrre, si les enfilait les une après les autres sans soucis des lendemains. plus ce mec se terrait derrière son silence et sa nervisoté, plus cela excitait la curiosité clara. qu'est ce que cet homme pouvait bien avoir dans le ventre pour a peine se maitriser, être aussi nerveux quand elle croisait et décroisait ses longues jambes félines. clara commença a se piquait du jeu, frolait sa main, croisait , décroisait ses jambes avec une gourmandise a peine déguisée. plus elle s'enfonçait dans le jeu plus pavel semblait a peine se contenir, elle decida à lui demandait de le suivre, ils s'eclipserent , plantant là martin qui eu un petit sourire complice pour pavel. clara presentant l'odeur du jeu, marchait devant d'un pas avide et décidé de femme habitué. pavel la suivait , respirait fortement.

clara monter les marches de son escalier quatre à quatre, bien décidé a faire de cet homme si emotif le gardien de cette nuit. clara rentra dans sa piaule n'attendit pas plus longtemps pour lui découvrir ses charmes. laissa tombait sa robe sur un corps dont la beauté charnelle se laissé devinait derrière un stratageme de lingerie fine. pavel la regardait, interdit, sa nervosité allait crépitante, et semblait réveillé chez clara des envies de savoir. il s'approcha, osa a peine la touchait, s'excita precipitamment, et dans un mouvent de colibris s'eclipsa vers les toilettes. clara attendit quelques instant puis le rejoins dans les toilettes presentant le fisco dont elle ferrait son festin. pavel la regarda interloqué, la pantalon sur les cheville laissant decouvrir un sexe vaincu dont la seve s'ecoulait généreusement entre ses doigts. clara se baissa , posa les deux mains sur ses fesses et se mit a lecher la seve chaude et amer. puis elle s'erigeat de toute sa hauteur , puis introduit sa langue dans la bouche de pavel qui semblait plus docile a se laisser faire. puis sortit violamment des toilettes lui dit: "rhabilles toi, viens quand tu veux" puis "on aura bien raison d'un oiseau si volatile,viens quand tu veux!"

pavel ne manqua pas de revenir...la peur au bas ventre!